24  Aug
Libre

Si ce n’est déjà fait, profitez de l’été pour découvrir le “Monde du Libre”

Et oui contrairement à ce que l’on voudrait nous faire croire, le marchand ou le marché n’est pas un principe unique nécessaire et obligatoire.

Aujourd’hui prenont le cas de la musique libre :

rendez-vous sur le site  http://www.jamendo.com selon vos gouts musicaux allez trouver votre genre préféré dans les Tags du site

les artistes viennent déposer leur œuvre et miracle de la collaboration, non seulement cette production peut légalement être écoutée et téléchargée par le public mais mieux encore ; d’autres artistes peuvent enrichir le morceau initial par leur talent.

C’est notamment le cas pour le groupe virtuel Triplexity. Un saxo + une voix + des percussions la réunion de 3 artistes: Nikila, SaReGaMa et Hamelin Bérengnier.

Le mot Triplexity est la combinaison de deux mots anglais “triplex” (en trois épaisseurs) et “complexity” (complexité). Triplexity est une formation musicale virtuelle, ces membres ne se sont jamais rencontrés “réellement”, toutes les collaborations ont été réalisées via Internet. Venant d’horizons musicaux différents, ils mettent en commun leur connaissance et leur inspiration pour donner vie à une musique singulière aux sonorités nouvelles. -écoutez sans limitation-

Musique libre :

On définit musique libre la musique qui n’est pas déposée dans des sociétés de gestion de droit d’auteurs (Sacem, Sabam, Gema, etc..). Les artistes choisissent de protéger leurs droits en utilisant des licences spéciales et non-exclusives telles que Creative Commons par exemple ou encore Licence Art Libre. Musique Libre ne veut pas forcement dire gratuite ou libre de tous droits, mais plutôt “certains droits réservés”. Les artistes déterminent ces autorisations d’utilisation grâce à leur licence.

Lire une belle histoire


article de naturnet, catégorie Culture et valeurs, Média, logiciels libres. Date: 24/08/2009 2:56 pm | No Comments »

story of stuff

Vous êtes vous déjà demandé

d’où viennent toutes ces choses que nous achetons ?

où vont-elles quand on les jette ?

Le but ultime de l’économie est-il  de produire toujours plus de biens de consommation ?

Ces choses évoluent dans un système : De l’extraction, à la production, à la distribution, à la consommation et enfin à l’élimination.

Voici un exposé d’économie, il se situe aux USA mais le modèle s’est largement mondialisé.

Il faut voir cette vidéo en entier ; elle dure 20 mn, présentée par Annie Léonard en anglais mais sous-titrée en français.

Ou  à la source sur le site the story of stuff (pour améliorer son anglais :  téléchargez la version en VO )

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Une autre vidéo pour améliorer son anglais et comprendre pourquoi il ne faut plus boire de l’eau en bouteille plastique :

sur ce blog, dans la même catégorie “quel pouvoir d’achat ?

article de naturnet, catégorie Société économie. Date: 31/12/2008 1:05 am | Comments Off

TuxIl est temps de passer à Linux

Un logiciel libre est un logiciel tel que toute personne qui en possède une copie a le droit de l’utiliser, de l’étudier, de le modifier et de le redistribuer.
Richard Stallman a formalisé la notion de logiciel libre dans la première moitié des années 1980 puis l’a popularisée avec le projet GNU et la Free Software Foundation.

En 1991, un étudiant de l’Université de Helsinki en Finlande, Linus Torvalds, propose à partir des éléments du projet GNU de créer le noyeau d’un système d’exploitation d’ordinateur ; le logiciel libre GNU Linux était né.

voir sur Wikipédia les caractèristiques des logiciels libres

  • Avec Linux on peut facilement se passer de Windows

Pour tout savoir sur Linux suivez ce cours libre

Une distribution Linux facile à installer et qui a de l’esprit : Ubuntu Ubuntu
Ubuntu” est un ancien mot africain qui signifie “humanité aux autres”. Ubuntu signifie également “Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous“.

Pour tout savoir sur les logiciels libres et se les procurer, rendez-vous sur Framasoft.net

article de naturnet, catégorie logiciels libres. Date: 22/01/2008 11:35 pm | 1 Comment »

journée sans achatDepuis une dizaine d’années, le dernier samedi du mois de novembre est déclaré “journée sans achat”.

  • C’est l’occasion pour les citoyens de démontrer que dans l’expression “pouvoir d’achat” le mot “pouvoir” a du sens et qu’il peut aussi devenir “pouvoir de non achat” ou “pouvoir du choix”.

Ce n’est qu’en exerçant ce pouvoir que le citoyen se distingue du simple consommateur ; rang auquel des économistes, industriels et politiques veulent nous cantonner !

Ce pouvoir peut s’exprimer de maintes façons mais dans tous les cas il fait précéder l’acte d’achat d’une réflexion.

  • Réfléchir sur la nécessité de recourir à cet achat, sur l’existence de solutions alternatives (même produit/service gratuit, possibilité de partage ou de prêt, …), faire un choix éthique dans la façon de dépenser son argent.

Les commerçants et publicistes font tout pour que notre comportement d’achat soit impulsif voir compulsif, qu’il échappe en partie à notre contrôle. Des moyens considérables sont mis en oeuvre pour nous faire acheter et encore acheter. Touts nos états sont sollicités (envie, culpabilité, fierté, …) pour déclencher l’acte d’achat. Nous sommes parfois comme ces enfants, faisant des courses avec leurs parents, qui sont tentés par les jouets et confiseries vus à la télé et présentés à leur hauteur à la caisse du magasin.
Le coin des définitions usuelles :

Le pouvoir d’achat est la capacité d’un individu à acquérir des biens et des services grâce à son revenu,

pour l’INSEE : Revenu Disponible Brut est l’ensemble des revenus ( moins les impôts), qui reste à la disposition des ménages pour la consommation.

Ainsi on constate que si le pouvoir d’achat n’est qu’une simple capacité à dépenser de l’argent, le pouvoir de non achat donne un puissant levier d’action économique aux citoyens qui refusent certains produits ou certaines pratiques commerciales. Les associations de protection des consommateurs connaissent bien ce pouvoir, il se matérialise par le boycott. Cette forme d’action plébiscitée par les citoyens, n’est cependant pas fréquemment mise en oeuvre.
Bien que la lutte soit inégale entre les citoyens et les autres acteurs économiques, il est nécessaire de garder l’illusion d’être chacun dépositaire du privilège d’avoir le dernier mot.

  • prolonger la réflexion :

éito. LeCourrier (Suisse)

EKopédia

et pour les achats de Noël : voir cet appel aux chrétiens

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article de naturnet, catégorie Société économie. Date: 24/11/2007 9:58 am | No Comments »


La planète au pillage

En 1948, Henry Fairfield Osborn, Jr (15 janvier 1887 — 16 septembre 1969), fils du paléontologue et géologue américain Henry Fairfield Osborn, publiait un ouvrage visionnaire :
” Our plundered planet ” traduit en français “La planète au pillage” par Maurice Planiol.

L’homme face aux ressources naturelles de la Terre et la mise en relation avec le surpeuplement, c’est l’équation des origines de la pensée néo-malthusienne actuelle.

Albert Einstein en a fait ce commentaire :

On sent d’une façon aiguë en lisant ce livre, la futilité de la plupart de nos querelles politiques comparées avec les réalités profondes de la vie

Aux États Unis, le débat sur les rapports entre le développement du progrès et la survie de la nature existait dès la fin de la guerre mondiale de 1945 comme en témoigne cet article paru le 7 juillet 1949.

La planète au pillage (1949)

télécharger télécharger l’introduction

la table des matières

télécharger le chapitre III

L’édition française est introduite par ces mots :A tous ceux que l’avenir inquièteL’humanité risque de consommer sa ruine par sa lutte incessante et universelle contre la nature plus que par n’importe quelles guerres”En voici le sommaire :

  • La détérioration de la Terre surpeuplée
  • L’interdépendance générale de tous les êtres vivants
  • La tendance de l’homme à détruire les sources de la vie
  • Le pillage
  • L’Asie jadis et aujourd’hui
  • Les pays méditerranéens et l’Afrique
  • La Russie
  • L’Europe
  • L’Australie
  • Le Nouveau Monde
  • Nous vous proposons de télécharger des des extraits et de déposer ci-dessous votre commentaire.

    population mondiale

    Références :

    OSBORN, Fairfield. (1949).La planète au pillage.Paris : Payot

    article paru le 7 juin 1949 dans THE TECH Problems of production, population hashed out by Bush, Osborn, Others [en ligne]

    * Réédité en 2008 avec une préface de Pierre Rabhi . Actes Sud. Collection. : Babel

    (à suivre… la pensée néo-malthusienne avec Paul Robin (bio) et les autres…)

    article de naturnet, catégorie Environnement, Lecture, Société économie. Date: 14/11/2006 10:49 pm | 5 Comments »

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